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- L’île Juan de Nova est une ile de l'océan Indien. Située dans le canal du Mozambique, c'est un territoire français revendiqué par la République de Madagascar. D'une superficie de 4,8 km2, elle est plate et entourée d’une grande barrière de corail. Elle tient son nom de João da Nova, le navigateur galicien qui la découvrit. Une ligne de chemin de fer y fut construite pour transporter le guano. Elle n’existe plus aujourd'hui. L’île n’offre aucun port, mais possède une piste d’aviation de 1,2 km de long.
- L’île est parfois appelée « île Jean-de-Noves », pour montrer qu'elle est une possession française. Cette dénomination se trouvait dans les atlas des années 1970 (lors de l’indépendance de Madagascar). Pour la distinguer du nom de personne, l’Insee utilise maintenant des traits d’union dans sa dénomination dans le Code officiel géographique (COG, révision 2008 amendée pour tenir compte du nouveau statut des TAAF dont l’île fait maintenant partie).
- Cette île est protégée par un vaste lagon et une barrière corallienne. Elle est composée de collines rocheuses (beach-rock) et de dunes de sable pouvant atteindre 12 m de hauteur. Il faut également signaler que le faciès de l’île a été modifié par l’exploitation minière (phosphate) qui a eu lieu jusqu’en 1972. Les dépôts phosphatés, entassés dans les petites dépressions de l’intérieur de l’île, sont le résultat d’une transformation du guano (exploitation entre 1900 et 1968) suite à des phénomènes physico-chimiques.
- Si Juan de Nova est l’île la moins fréquentée par les tortues marines, elle constitue néanmoins un site de reproduction et de développement des immatures pour la tortue verte, mais aussi, ce qui est plus rare dans la région, un site de reproduction et de développement pour la tortue imbriquée (en danger d’extinction).
Source Wikipédia et Taaf
- L’île Juan de Nova est une ile de l'océan Indien. Située dans le canal du Mozambique, c'est un territoire français revendiqué par la République de Madagascar. D'une superficie de 4,8 km2, elle est plate et entourée d’une grande barrière de corail. Elle tient son nom de João da Nova, le navigateur galicien qui la découvrit. Une ligne de chemin de fer y fut construite pour transporter le guano. Elle n’existe plus aujourd'hui. L’île n’offre aucun port, mais possède une piste d’aviation de 1,2 km de long.
- L’île est parfois appelée « île Jean-de-Noves », pour montrer qu'elle est une possession française. Cette dénomination se trouvait dans les atlas des années 1970 (lors de l’indépendance de Madagascar). Pour la distinguer du nom de personne, l’Insee utilise maintenant des traits d’union dans sa dénomination dans le Code officiel géographique (COG, révision 2008 amendée pour tenir compte du nouveau statut des TAAF dont l’île fait maintenant partie).
- Cette île est protégée par un vaste lagon et une barrière corallienne. Elle est composée de collines rocheuses (beach-rock) et de dunes de sable pouvant atteindre 12 m de hauteur. Il faut également signaler que le faciès de l’île a été modifié par l’exploitation minière (phosphate) qui a eu lieu jusqu’en 1972. Les dépôts phosphatés, entassés dans les petites dépressions de l’intérieur de l’île, sont le résultat d’une transformation du guano (exploitation entre 1900 et 1968) suite à des phénomènes physico-chimiques.
- Si Juan de Nova est l’île la moins fréquentée par les tortues marines, elle constitue néanmoins un site de reproduction et de développement des immatures pour la tortue verte, mais aussi, ce qui est plus rare dans la région, un site de reproduction et de développement pour la tortue imbriquée (en danger d’extinction).
Source Wikipédia et Taaf
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